LANGRISH Rachel

- Prénom & Nom: Rachel Langrish
- Age : 17 ans
- Caractère :"Je ne serai pas où commencer. J'ai dix-sept ans et j'ai déjà eu deux vies. Naissance d'une jolie petite fille au grand coeur, avide de savoir, voulant toucher le monde du bout des doigts pour espérer le rendre meilleur par un respect de la nature par les humains. Développement de la personnalité, caractère endurci au charme irrésistible mais trop mauvais cochon. Je suis née douce, charmeuse, amusante, calme... Rêveuse. Jeune demoiselle aux allures folichonnes, coquines, croquant la vie à pleine dents mais pourtant si triste au regard morose. Etant petite, j'étais sage, comme une image. Quand on est petit on est toujours un peu secret. Moi mon secret c'est que j'étais seule, mais une solitude que je comblais avec la nature. J'ai appris à grandir ainsi, isolée des autres enfants. J'étais sage, gentille, douce, intéressée, comme toutes les autres. J'avais juste des pensées que des enfants de mon âge ne devaient pas avoir. Au fil de mes années j'ai su me forger un caractère de roche. Pénétrant dans le monde dure monde de la réalité humaine, je devins la jeune fille aux idées claires mais tellement différentes, j’étais encore la rejetée dans ce monde qui n’est pas le siens, l'oubliée, celle dont on se désintéressait, au fond de moi se développait un cœur de pierre qui n’était qu’adressé aux humains, ces être que je hais tant. Cette misanthropie me permit de faire des choses que personne n’aurait osées, à ma seizième année j’ai empoisonné un sans abris en lui offrant un sandwich de confiture mélangée à des produits de chimie, je n’ai aucune honte, mais je garde quand même cet acte en secret. Certaines personnes reconnaissent mon intelligence, la majorité non, ils se contentent de voir une adolescente en décalage, une fille complexe aux ambitions tirées par les cheveux. Je suis maligne. En sortant de collège après mes cinq années d'études on m'a demandé comment je pourrais me qualifier en quelques mots. Quels étaient mes défauts, mes qualités ... Je n'en sait pas plus que vous. Enfin si, je devrais le savoir justement, mais je ne saurai comment m'exprimer. Commençons par les défauts, vous les oublierai sûrement après avoir lu mes qualités. Peut-être, peut-être pas. Je suis lunatique, je change d'humeur constamment à cause d'un petit détail qui fait que je bouillonne en à peine une seconde où que je sois toute câline en deux temps trois mouvements. Je me suis apprise à être forte, à enfermer mes émotions, à prendre compte du temps, à fermer mon esprit pour ne voir que mon idéologie, à être rancunière. Je ne supporte pas que l'on me fasse de sales coups si impunément. On me cherche, je trouve et je rends la monnaie de la pièce. Je suis trop lucide, je vois bien trop le monde sous son vrai jour et ceci est un gros défaut. J'aurais préférée être aveugle. Je suis jalouse, trop protectrice et peu être un peu trop fêtarde et bavarde par moment. Le dernier cas est très rare, on m'entend peu, où juste comme il faut. Puis mes qualités. Je suis enjouée, sérieuse, amusée, drôle ? Je suis un brin blagueuse, ou peu être moqueuse, oui je me moque de la bêtise des gens. Je suis très proche des peu de gens que j'aime, protectrice au grand cœur, peut être maternelle, dosant l'amour que je donne aux peu de personnes se vantant de le recevoir et surtout le méritant. Je suis calme, timide par moment. Je protège souvent mes arrières, je ne sors pratiquement pas, j’aime restée seule dans les endroits où je me sens tranquille, je prône plus particulièrement les endroits où il est rare d’être perturbé. Cela dit, je ne suis pas contre quelques balades solitaires en ville, à regarder les vitrines en hésitant de dépenser son argent, j’ai beaucoup de difficultés à dépenser mon propre argent, depuis l’enfance ce sont toujours mes parents qui m’ont tout financés. Il y a une chose que je n’ai pas précisé dans cette rédaction, j’ai deux seules ambitions dans ma vie, et dont je ne laisserais personne me barrer la route, être avec les chevaux et devenir actrice, m’envoler de ce monde pour vivre dans le rêve. « Tu ne réussiras pas dans la vie avec ce métier, devient médecin tu auras un avenir plus prometteur » Désolée Grand Père, je ne suis pas comme vous, je ne veux pas être qu’un vulgaire produit de votre conception, je n’en ai que faire de l’honneur de la famille, surtout celui de mon père … "
- Histoire : " Je suis née par un jour d’automne, de rire et de bonheur le 11 Septembre 1990 à 03h13. Qu'il y a t-il de plus magnifique que de naître parmi des parents qui s’aime, je le croyais. J'ai commencé assez mal ma vie. A mes trois ans mon petit frère est décédé suite à une mal formation au cœur doublé d’une trisomie 21, j’ai très mal vécus ce moment qui à engendré Noël, j’étais petite certes, mais j’avais déjà une conception de la mort, ce 26 Décembre, je perdis le seul être humain en qui j’éprouvait un amour sincère et pure. Mais le cauchemar ne venait se dévoiler au monde. Avant ma naissance, mes parents n’avaient plus le même amour qu’ils avaient à leurs quatorze ans, et la violence conjugale avait déjà trouvé sa place dans notre famille qui était à présent si fragile. Mon père n'est autre que Fabrice Langrish. Sa famille est de haute classe depuis des générations, ils ont tous travaillés dans la politique ou la médecine. Ma mère est Karine Wood, une française a vécu son enfance au Japon et qui est revenus en France dans son adolescence après le suicide de son père. Elle a rencontré mon père dans la même année, c’est en quelque sorte lui qui l’a aidé à la sortir de son chagrin. Aujourd’hui, elle travaille aujourd’hui dans l’écologie en tant que Eco Gard. De ma naissance à mes treize ans, mon père ne s’est pratiquement pas occupé de moi et de ma petite sœur Julie, née deux ans après le décès de mon frère. Heureusement que ma mère était au foyer à ce temps là, mais elle gardait les enfants des autres et m’apportait moins d’intention, même si elle était une mère présente, je m’isolais dans mon coin soit dans mes dessins soit dans notre court à observer les insectes ou a me balader dans le pré des poney qu’il y avait derrière chez nous, je faisais semblant qu’ils étaient à moi, je les montais à cru en liberté et leur donnais des carottes. J'étais précoce à mon âge. J'ai su parler et marcher assez tôt. Au fur et à mesure que je grandissais, j’avais plus de plombs dans la tête, déjà soumise à des difficultés que les enfants ne doivent pas faire face, la violence entre les parents me vola une partie de mon enfance, je protégeait ma sœur des scènes et des cris horribles, l’idée de fuguée à ce temps me trottait déjà dans la tête. Je me suis construit un monde pour échapper à tout ça. On me traitait comme une enfant naïve qui ne se rendait compte de rien, en réalité j'ai jamais su ce que c'était la vraie "jeunesse", ma mère m’obligeais à mentir à mon père sur les hommes qu’elle fréquentais, la sexualité à 6 ans je savais ce qu’étais. Je sortais souvent dans les prés ou les forêts, j’y trouvais refuge, je parlais aux arbres, aux insectes, aux animaux, je m’inventais des histoires fantastiques où j’en étais l’héroïne, je ne jouais pratiquement jamais à la poupée où quoi que ce soit sauf avec ma petite sœur, mais j’avais une passion pour les petits chevaux, je me rappelle avoir fait d’immenses centre équestre avec Julie sur le sol de notre chambre, il était impossible de poser un pied. Le nez toujours plongé dans un livre, voulant toujours m’échapper, ou accrochée a mes crayons et mes feuilles de dessin. Mais sans enfance innocente, on ne peut pas vivre correctement. Qu'il y a t-il de plus affreux qu'une enfance perdue à cause de ses parents ? A mes treize ans, mes parents ont divorcés, même si cela faisait un réel soulagement, je le pris très mal et j’ai eut ma phase déprime et instant suicidaire, je me suis définitivement isolée des autres. Heureusement que les chevaux étaient là, j’allais au centre équestre le plus souvent possible. Loin de mes parents, près des chevaux, je me sentais heureuse comme ça. Je me suis forgée mon propre caractère. Passant de la petite fille sage aux couettes à l'adolescente au caractère de pierre, détestant les gens et adorant son monde, d’un côté noire et redoutable et d’un autre un monde rose bonbon et sucré, une Alice au pays des Merveilles qui aime Halloween. A partir de cet âge, je ne pensais qu’à une chose, devenir actrice pour de bons, avoir le privilège de pouvoir vivre plusieurs vie en une seule, offrir son âme à un personnage, s’échapper de la torture de la réalité. J’ai loupé mes deux dernières années de collèges mais j’ai réussis tout de même à passer en classe supérieure dans une école de cinéma où j’y ai passé 3 ans. A mes 15 ans je décroche le rôle qui m’a permis d’être révélé au monde, j’ai tourné dans trois long métrage en tout et je ne compte pas m’arrêter en si bon chemin , mais j’ai aussi de nouvelles ambitions, je souhaiterais en plus de cela, ouvrir mon centre de randonnée pour faire découvrir aux gens que l’on peut faire qu’un avec la nature et les chevaux. "
- Aime les chevaux : Quand je montais dans mon ancien centre équestre, on m'attribuait souvent un cheval assez caractériel, il se nommait Indigo. C'est grâce à lui que j'ai découvert réellement l'équitation et l'amour. On me donnait aussi d'autre chevaux, plus calme ou alors de jeune chevaux qui font leur première sortit à l'extérieur. Mais de tous, c'est Indigo que j'aimais, nous formions un tadem tous les deux, jusqu'à temps que la propriétaire décida de repointer son nez au Club pour le récupérer avant la fermeture, ce qui se passa un an plus tard. Tout récit du passé pour dire, que je m'adapte à chaque chevaux, j'ai appris sur un cheval difficile. Qu'importe le cheval qu'on m'attribura, je saurais l'aimer et m'en occuper.
- Donner un mot pour décrire le tempérament de votre personnage : Imprévisible
- Code(s) : ok by Clem'
- De quel site viens-tu ? Wild Horse
- Qu'est-ce qui t'as poussé à t'inscrire ? Je cherchais désespérément une écurie virtuelle, ou un forum dans la même ambiance. Après c'est la mise en forme, le design et le concept qui m'a poussé à m'inscrire.
- Fréquence de connexion : minimum 2 fois par semaine.