D'Epis et d'or : La gazette des écuries

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1. L'histoire d'Epis : Le commencement

2. L'interview du mois : Kimberly l'administratrice

3. A l'affiche : Théodore Géricault

4. Le sondage de la semaine : Pour ou contre le mag' d'Epis ^^





















Tout commence il y a bien longtemps… Non, en fait il n’y a pas si longtemps que ça ! Enfin disons il y a quelques années… Tout démarre en France. Deux adolescentes répondant aux noms de Kimberly et Lou, se sont rencontrées dans un club hippique, lors d’une compétition de CSO, pour ne plus se quitter. Friandes d’aventures et de nouveau, l’idée d’instaurer un club à elles montée en elles, bien que se ne soit qu’un rêve. A leur majorité, elles décidèrent de prendre les choses en main. Si leur rêve semblé irréalisable aux yeux de beaucoup, elles étaient surent d’y parvenir malgré les remarques accablantes de leurs proches, selon eux, une pure folie. Mais la passion mène bien souvent a la folie, ceci est connu ! Kim’ et Lou entreprennèrent donc tout d’abord le choix d’un lieu espacé, donnant un sentiment de liberté mais aussi qui pourrait devenir convivial et agréable pour tous. Leur choix se porta sur une île dans l’océan Atlantique, un endroit calme et abandonné ou seule une résidence y était encore ainsi qu’une petite ville dont le nom était inconnu. Elle décidèrent donc de s’engager dans cette aventure et firent le voyage vers cette îles inconnue, remplie de secrets et de découvertes à dévoilées… A leur arrivée, l’endroit était désert. La résidence était encore en bon état, au milieu de champs de blés et leur trajectoire se mena a cet endroit particulièrement. Il leur fallut environ un ans pour la construction d’écuries, de corrals, de clôtures pour les près, mais aussi une carrière et un manège. La petite maisonnette servie de club house, ainsi que la restauration de l’étage pour les chambres. Une fois les travaux finit, elles décidèrent de s’installer entièrement dans cet endroit qui était devenu le leur, et transmirent des annonces de leur « œuvre » par internet. Le nom d’ Epis D’or fut donné très rapidement en raison des champs de blés qui avaient ornés la petite maisonnette a leur arrivée. Peu de temps après, un cheval du nom de Bounty fut exporté, et c’est la que commence notre histoire…

























Bonsoir Kimberly !
B'soir

Afin de mieux vous connaître et de comprendre votre choix d’investir ce fabuleux centre équestre, nous souhaiterions vous poser quelques questions !

Tout d’abord, nous savons votre immense passion pour les chevaux, mais quand est-ce que cela vous a pris et comment ?

Quand j'étais petite , j'ai vu un cheval et j'lui est croquer la jambe puis j'en suis tomber amoureuse ^^

Un projet tel que Epis demandait une certaine audace et beaucoup de courage ! Qu’est-ce qui vous a poussé a réaliser ce rêve qui semblait pourtant infaisable ?

Le lieu surment...

Vos parents et vos amis vous soutenaient-t-ils ?

Ma soeur , oui , mes parents et mes amis me traitaient de folle...( rire )


Pourquoi un endroit si lointain et au milieu de l’océan ?

Ce lieu m'attire...

N’avez vous jamais perdu espoir ou découragez a un moment de la réalisation ?

Nan jamais, c'était mon destin


A votre arrivée et a la fin des travaux, avez-vous trouvé de suite des adhérent ou la mise en marche fut laborieuse ?

Tout de suite..

Et la recherche des chevaux ? L’exportation par la mer n’a pas dut être facile…

C'est un secret

L’intégration des autres membres n’a pas était difficile ?

Nan , plutôt facile même ^^

Et alors maintenant votre vie actuelle vous convient-elle ?

Oooh que oui ^^

Et bien merci Kim’ pour vos réponses et votre sympathie ! En espérant vour revoir prochainement !




















Théodore Géricault (né en 1791 ; mort en 1824) est un peintre français issus d’une famille aisée de Rouen. Il étudie chez le peintre Carle Vernet qui est un spécialiste des scènes de chasse et y fait connaissance d’Horace Vernet, fils de Carle Vernet. Puis, il étudiera chez Pierre Guérin, avant de s’inscrire en 1811 à l’école des beaux arts à Paris.
3 ans plus tard, il aura une liaison avec Alexandrine Caruel qui était l’épouse de l’oncle maternel de Géricault. Cette liaison sera désastreuse pour lui et donnera un fils, Hippolyte Georges.
Plus tard, il partira en Italie ou il sera impressionné par de grands artistes comme Michel Ange ou le flamand Pierre Paul Rubens. L’artiste choisit de privilégier les scènes de la vie quotidienne qu’il porte au rang de hauts faits. Il devient rapidement un maitre d’un courant artistique : le romantisme.
Ses deux premières œuvres en témoignent : Officier de chasseurs à cheval de la garde impériale chargeant et cuirassier blessé. Ces deux portraits équestres monumentaux sont déjà empreints du talent de l’artiste et suscitent un vif intérêt lors du salon de 1814.
Plus tard, il créera un tableau nommé Le Radeau de la Méduse, 1819 (Louvre, Paris), magnifique œuvre représentant des naufragés apercevant, au bout de 13 jours de dérive, le bateau qui va les sauver. Mais, le tableau sera accroché trop haut lors de l’exposition et sous les critiques, Géricault quitte la France pour l’Angleterre.
À la fin de sa vie, il se consacre au thème du cheval, qui le passionne depuis le début de sa carrière. L’animal devient en effet le centre de sa mythologie personnelle, le messager des méditations du peintre sur la passion, la souffrance et la mort. L'histoire équestre de Géricault été racontée en détail par Bartabas dans son film Mazeppa (1993).
En décembre 1821, le peintre revient à Paris, tombe malade. Il commencera alors à peindre des peintures représentant la folie.
Le peintre effectuera également des sculptures (Le cheval écorché), des lithographies, des dessins.
Il meurt le 26 janvier 1824



Ses principales œuvres datées :

• Officier de Chasseurs à cheval, 1812 (Louvre, Paris)
https://2img.net/r/ihimizer/img263/3434/gericaulthorsemanjw8.jpg
• Cuirassier blessé, 1814
https://2img.net/r/ihimizer/img216/1896/gericaultwoundedcavalryjg5.jpg
• Le Forgeron, 1814
• Courses de chevaux libres à Rome, 1817
• Courses de chevaux barbes, 1817 (plusieurs versions dispersées dans les musées de Paris, Rouen, Lille, Baltimore, et dans des collections particulières)
• Le Radeau de la Méduse, 1819 (Louvre, Paris)
https://2img.net/r/ihimizer/img112/9254/thc3a9odoregc3a9ricaultet0.jpg• Le derby d’Epsom, 1821 (Louvre, Paris)
• L’Aliéné Cleptomane, vers 1822
• La Parieuse, 1822



Le Derby d’Epsom (1821), l’un des nombreux tableaux de Géricault, est une œuvre qui retient l’attention par son manque de réalisme : les chevaux semblent voler car ils sont représenter durant le temps de suspension de leur galop. Cependant, postérieurement au tableau, la photographie a permise de voir que les chevaux n’ont jamais en même temps les quatre jambes tendues. Le tableau n’est donc pas réaliste en dépit du soin minutieux apporté au dessin.
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Remerciement : Alexander et Jessica...

Une remarque , une idée n'hésitez pas ^^